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Chicoutimi

Chicoutimi UQAC

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Site web de l'université : http://www.uqac.ca/

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TÉMOIGNAGES ALUMNI

Envie de partir ?

Naïma Abdallah partage son expérience au Québec, dans la ville de Chicoutimi.

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Découvrez aussi Chicoutimi à travers le regard d'une seconde alumni Joyce Emie-lobe.

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Témoignages de Maëlle Pierre :

Maëlle Pierre, âgée de 21 ans, est une ancienne élève de l’IUT de Sceaux qui fut dans la promotion GEA 2 2014-16..
 

A la suite de l’obtention de son DUT, elle a voulu partir à l’étranger car elle ressentait le besoin de faire une pause, pour savoir ce qu’elle voulait faire concrètement. Ainsi, Maëlle a effectué une demande pour faire un DUETI au Canada, car elle était particulièrement attirée par la mentalité canadienne et voulait sortir de sa zone de confort. 
 

Elle ainsi intégré l’UQAC, l’Université du Québec à Chicoutimi en partenariat avec l’IUT, pour effectuer un baccalauréat (terme canadien pour la licence) en administration en 2 semestres. Bien que les matières qui y sont dispensées soient des matières qu’elle a déjà étudiées à l’IUT, Maëlle trouve cependant que l’enseignement est différent, notamment avec des professeurs beaucoup plus accessibles qu’en France.
 

Concernant le logement, elle a été logée dans une résidence étudiante en collocation avec une étudiante québécoise, collocation qui s’est par ailleurs très bien déroulée. Toutefois, Maëlle insiste sur le fait qu’il faut s'y prendre à l’avance pour effectuer une demande de logement, car ces logements au nombre de places limitées disposent d’un très bon emplacement et d’une proximité avec l’Ecole. Dans le cas de Maëlle, sa résidence était située à 2 minutes du bâtiment principal de son Ecole.
 

De plus, Maëlle trouve qu’il fait bon vivre à Chicoutimi, que les gens sont accueillants, respectueux, et surtout chaleureux ; d’autant plus que l’UQAC propose de nombreuses activités telles que, du patinage, de la randonnée, des visites au zoo, ou encore des balades, et propose aussi de supporter l’équipe de hockey sur glace de l’Université.
 

En outre, concernant ses projets, après son DUETI, Maëlle a réalisé 3 mois à Vancouver dans une école de langues pour travailler son anglais, dans l’optique d’intégrer une université anglophone. Par ailleurs, elle envisage d’entrer en master de psychologie à Vancouver à la rentrée 2019.
Enfin, cette expérience s’est avérée être un réel atout source d’épanouissement, elle sait dorénavant ce qu’elle veut faire, cette expérience a été un réel apprentissage sur elle-même en étant loin de sa famille, et lui a permis de faire des échanges multiculturels, en développant notamment des amitiés avec des personnes de tous horizons.

 

Cette vidéo a été réalisée par Maëlle Pierre, une ancienne élève de l’IUT qui a effectué en 2016-17 un DUETI à l’UQAC (Université du Québec à Chicoutimi), au Canada. Elle  présente  l’Université qu’elle a intégrée ainsi que son environnement (les locaux de l’Université, le paysage canadien, des activités qu’elle a pu effectuer). Par ailleurs, cette vidéo présente aussi trois des camarades de Maëlle qui, comme elle, ont vécu une mobilité internationale et témoignent de  ce que l’UQAC leur a apporté et de leur projet d’avenir après cette expérience. 

Témoignage de Flore Swynaryk :

Flore Swynaryk, anciennement étudiante en DUT TC de la promotion TC2 2015-2017, a effectué son semestre 4 au Canada.
 

Introduction
 

- Bonjour, pourriez-vous vous présenter ?

- Bonjour, je m’appelle Flore Swynaryk et j’ai 21 ans. J’étais étudiante à l’IUT de Sceaux au sein du département TC lors de la promotion 2015-2017.

 

- Quelles ont été vos motivations à effectuer un semestre à l'étranger ? Et pourquoi dans ce pays en particulier ?

- L’envie de partir en immersion à l’international, dans mon cas au Canada, a toujours été omniprésente chez moi. J’ai toujours aspiré à voyager dans le contexte des études mais également par moi-même. 

À mon sens, séjourner dans un pays étranger est la source d’une réelle opportunité que ce soit professionnelle ou personnelle. En tant qu’étudiante, voyager représente un réel tremplin. En effet, en tant qu’étudiante en Commerce International, cette expérience était selon moi incontournable. Cela m’a permis de parfaire mes connaissances et de compléter ma formation actuelle dans un pays étranger, ce qui représente un avantage non négligeable. 

 

De plus, passer un semestre au sein d’une université étrangère permet de bénéficier d’un enseignement et d’une pédagogie différente de tout ce qu’on peut recevoir. Par ailleurs, il devient essentiel aujourd’hui de donner une dimension internationale à sa formation. De plus, partir en immersion dans un pays aux valeurs et principes différents de la France est une opportunité car elle permet de s’ouvrir aux autres, découvrir un environnement qui n’est pas coutumier et obtenir une certaine ouverture d’esprit.

 

D’autre part, cette expérience est le gage d’être plus autonome et indépendant. J’ai pu réaliser mon stage de fin d’étude à Montréal dans une start-up québécoise spécialisée dans le design et la conception de casquette pour enfant. Selon moi, effectuer mon stage à l’étranger pouvait être indéniablement enrichissant d'un point de vue professionnel mais également culturel. Evoluer dans un environnement de travail canadien allait me permettre de découvrir une culture de travail différente, d'adapter mon organisation aux exigences professionnelles canadienne.

 

Par ailleurs, ce stage était également une manière de mutualiser mes connaissances et compétences avec celles d’une équipe étrangère. Ma volonté de partir au Québec s’explique par le fait que c’est une région qui m’attire pour de multiples raisons. En effet, les pays du Grand Nord m’ont toujours fascinée et l’image que j’ai de ces pays attise d’autant plus ma curiosité et mon envie d’y séjourner.

 

- Quelles ont été les principales étapes à la préparation de ce séjour ?

- Recherche d’un logement, d’une assurance, les démarches administratives, le visa. 

 

- Où avez-vous été logé(e) ?

- J’ai logé au sein des résidences universitaires de l’UQAM.

 

- Comment avez-vous trouvé ce logement ?

- Sur conseil d’un ami y ayant séjourné lors de son semestre universitaire. 

 

L'expérience

 

- Quelles sont les principales différences entre la France et le pays où vous avez séjourné ?

- Le climat, incontestablement !  

 

- Quel était le coût de la vie dans ce pays ?

- Le coût de la vie à Montréal est légèrement plus cher qu’en France surtout d’un point de vue de l’alimentation. Hormis cela, en tant que Français, on reste très avantagé grâce au taux de change. 

 

- Avez-vous bien été accueillie ?

- Très, les Québécois étaient à l’image que j’en avais : accueillants, ouverts d’esprit et chaleureux ! 

 

- Avez-vous un bon souvenir de votre expérience à nous partager ?

- L’Igloofest ! C’est un festival d’hiver (en plein air !) de musique techno et électro en plein cœur de Montréal et qui fédère des milliers d’étudiants ! On danse en extérieur en parka et moon boots ! C’est l’fun !

 

- Qu'avez-vous préféré durant votre séjour dans ce pays ?

- D’un point de vue général, l’atmosphère au Québec est très agréable, les habitants sont accueillants, chaleureux, souriants… ce qui contraste fortement avec la France ! Il règne un climat positif, en bref on s’y sent bien !

 

- Qu'avez-vous moins apprécié lors de votre expérience ?

- Il n’y a pas de chose qui m’ont déplu lors de mon semestre. 

 

- Qu'est-ce que cette expérience vous a apporté ?

- L’autonomie, la responsabilisation et la débrouillardise sont des atouts que j’ai développés au cours de cette session.  

 

- Quels conseils pourriez-vous donner à des étudiants intéressés par un semestre à l'étranger ?

- Un échange universitaire est une expérience qui est selon moi incontournable. Elle profite sur tous les plans aussi bien personnels que professionnels. Partir à l’étranger c’est réaliser des rencontres incroyables, vivre des moments uniques qui vous marqueront toute une vie ! 

Témoignage d'Amandine Desvergnes 

Amandine Desvergnes, anciennement étudiante en DUT GEA de la promotion GEA2 2014-2016 a effectué un DUETI au Canada à l’UQAC, lors de l'année scolaire 2016-2017.
 

Introduction
 

- Bonjour, pourriez-vous vous présenter ?
- Je m’appelle Amandine Desvergnes, j’étais en DUT GEA de 2014 à 2016, et je suis partie un an au Canada en double diplomation, le DUETI (diplôme français) et le Bachelor en Administration (B.A.A Canadien).

 

- Quelles ont été vos motivations à participer à un programme d’échange ? Et pourquoi dans ce pays en particulier ?
- J’ai toujours souhaité partir à l’étranger, mais partir de soi même, cela est toujours plus compliqué. L’opportunité que proposait l'IUT de partir un an dans une de ses universités partenaires était idéale. Je suis partie un an au Canada. Pour être honnête, au début je souhaitais partir dans un pays anglophone pour améliorer mon anglais, mais quand l’IUT m’a proposé le Canada, j’ai tout de suite accepté. C’était une belle opportunité de partir, et des connaissances qui habitent là-bas m’ont toujours dit que le Québec en valait le coup. Aujourd’hui je n’ai aucun regret d’être partie, j’ai adoré mon expérience, pour cette raison, j’ai décidé de poursuivre mes études à Montréal.  

 

- Quelles ont été les principales étapes à la préparation de ce séjour ?
- Je connaissais des amis qui étudiaient déjà au Québec, la préparation a donc été plutôt facile pour moi. Les étapes : se renseigner sur la ville et l’Université, rechercher un logement, prendre le billet d’avion 

 

- Où avez-vous été logé(e) ?
- J’étais en colocation dans une maison avec des étudiants dans la mêm
e situation que moi. 

 

- Comment avez-vous trouvé ce logement ?
- Je l’ai trouvé via Internet et grâce aux pages Facebook. 

 

L'expérience

 

- Quelles sont les principales différences entre la France et le pays où vous avez séjourné ?
- Même si c’est une province francophone et que le style de vie est un peu similaire avec la France, les mentalités, les personnes sont différentes. En effet, les Québécois sont très accueillants et ouverts, chacun est prêt à aider les autres dans n’importe quelle situation. L’hiver est très rude mais on s’y fait. Les habitudes de vie et le rythme ne sont pas les mêmes, les Québécois dinent le midi et soupent le soir à 6 heures du soir. Le système universitaire est très différent du français, basé sur le GPA, à la mode américaine. Un petit peu difficile à comprendre au début quand tes professeurs te donnent des lettres en notes (A,B…) et que ta moyenne finale est sur 4,3. Tous les prix sont hors taxes, donc les factures augmentent rapidement, avec les « tips » comme coutume en plus. 

 

- Quel était le coût de la vie dans ce pays ?
- La vie n’est pas forcément beaucoup plus chère là-bas car il s’agit du dollars canadien (lorsqu’on le compare à l’euro), mais tous les prix affichés hors taxes sont souvent trompeurs. Mon budget mensuel s’élève à peu près 900$ CAD en comptant le loyer, les courses et les sorties. 

 

- Avez-vous bien été accueilli(e) ?

- Oui, vraiment bien, les Québécois sont très accueillants et ouverts. 
 
- Avez-vous un bon souvenir de votre expérience à nous partager ?
- Quand je suis allée observer (enfin essayer de voir) les aurores boréales. Il faut trouver des endroits où il n’y aucune lumière, très isolé. Je suis allée dans un parc national,  marcher sur un lac gelé et il n’y avait rien à voir à des km, c’était magique. 

 

- Qu'avez-vous préféré durant votre séjour dans ce pays ?
- Les paysages canadiens sont magnifiques. Tu es dans la ville, tu prends la voiture 5min et tu te retrouves seule au monde avec rien autour de toi, c’est assez spectaculaire. 

 

- Qu'avez-vous moins apprécié lors de votre expérience ?
- Le point négatif, c’est que l’UQAC (Université du Québec à Chicoutimi), est en partenariat avec beaucoup d’écoles en France. Chicoutimi est une petite ville, ainsi, il y avait beaucoup de Français même dans mes cours. Donc l’immersion n’était pas réellement totale. 

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- Qu'est-ce que cette expérience vous a apportée ?
- Cette expérience m’a fait grandir, en effet partir du jour au lendemain à plus de 5000 km de ses petites habitudes parisiennes et de sa famille, c’est un grand pas. S’auto-gérer et être seule face aux décisions, cela permet de vraiment te responsabiliser et c’est vraiment ce que cela m’a apporté. Je suis vraiment autonome. Partir à l’étranger, c’est également une ouverture d’esprit, tu apprends à connaître de nouvelles personnes, de nouveaux styles de vie et habitudes. C’est toujours très enrichissant. 

 

- Quels conseils pourriez-vous donner à des étudiants intéressés par un stage/un semestre à l'étranger ?
- La seule chose que je conseille, c’est de partir. Je ne regrette en aucun cas et la possibilité qu’offre l’IUT de partir à l’étranger comme cela est vraiment une opportunité géniale. Partir de soi-même, c’est bien différent. Partir dans le cadre d’un échange aide toujours à être plus à l’aise pour partir et cela rend les choses un petit peu plus facile. 

 

Témoignage de Fanny Laurin

-       1/  Bonjour, pouvez- vous vous présenter ?

Je m’appelle Fanny LAURIN, j’ai 19 ans et je suis initialement en 2ème année de DUT Techniques de commercialisation à l’IUT de Sceaux. Actuellement je suis le cursus « baccalauréat en administration », le temps d’un semestre à l’UQAC (université du Québec à Chicoutimi)

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-       2/  Qu’est ce qui t’a donné envie de faire un ERASMUS dans ce pays ?

L’envie de découvrir le monde, une nouvelle culture et d’avoir une première expérience à l’étranger. C’est un réel plus sur le CV et une réelle aventure à vivre selon moi.

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-       3/  Quelles ont été les principales étapes de la préparation de ce séjour ?

Le plus important pour moi à été la sélection des cinq cours que je voulais étudier, la recherche d’un logement, mais surtout, j’ai du rapidement m’occuper de l’assurance maladie (qui prend énormément de temps).

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-       4/  Où seras- tu logé(e) ?

A une quinzaine de minutes de l’université, en colocation avec 7 autres personnes.

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-       5/  Comment as-tu trouvé ce logement ?

Grâce à ma meilleure amie qui a elle aussi étudié à l’UQAC, elle m’a mise en contact avec le propriétaire de la maison dans laquelle elle était logée.

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Retour de mobilité internationale

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-       6/  Quels sont les principales différences entre la France et le pays que tu as choisies ?

Mis à part la température qui ne dépasse généralement pas 0° en hiver, je dirais les cours. En effet, nous avons uniquement 5 cours de 2h45 par semaine contrairement à l’IUT. Mais cela nous demande donc énormément de travail personnel à la maison.

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-       7/  Les différences entre étudiants ?

A l’UQAC, il y a énormément d’étudiants internationaux, qui viennent principalement de France, mais aussi de Cuba, du Mexique… Nous avons donc l’habitude de passer du temps avec des personnes venant d’autres pays.

En ce qui concerne la relation entre les professeurs et les étudiants, nous pouvons également remarquer qu’au Canada, tout le monde est au même niveau. En effet, les étudiants appellent leur professeur en les tutoyant, en les appelants par leur prénom, contrairement à la France.

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-       8/  Quel était le coût de la vie de ce pays ?

Le coût de la vie est assez raisonnable, il y a différents magasins (un peu comme Auchan et Lidl) qui permettent de faire des économies (Walmart). En général les prix restent à peu près comme en France, même si cela dépend des domaines. Mais il faut bien faire attention car en plus des prix affichés (au restaurant par exemple) nous devons ajouter des « Tips », qui sont des pourboires obligatoires.

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-       9/  As-tu été bien accueilli(e) ?

Oui très bien accueillie !

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-       10/  As-tu un bon souvenir à nous raconter ?

Je n’ai pas vraiment un seul bon souvenir, mais les sorties organisées (randonnée nocturne en raquettes), les activités au sein de l’université comme le SnowJam (petit parcours en snow/ski) et l’ambiance en générale sont vraiment de bons souvenirs.

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-       11/  Qu’as- tu préféré dans ce pays ?

L’ambiance, la mentalité des personnes et la nouveauté surtout ! Se retrouver seule, à l’autre bout du monde dans un environnement complètement différent de notre quotidien, c’est vraiment le fun comme diraient les Canadiens !

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-       12/  Qu’as- tu moins aimé dans ce pays ?

Au début la température, parce que nous sommes arrivés en pleine tempête et c’était vraiment dur ! Puis ensuite je me suis habituée. Je n’ai pas vraiment d’idée, je pense que j’ai tout apprécié.

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-       13/  Qu’est-ce que cette expérience t’as apporté ?

Cette expérience a été très enrichissante,  tant d’un point de vu professionnel que personnel. Tout d’abord, l’indépendance, mais j’ai également pu découvrir une nouvelle culture, une nouvelle façon de penser. J’ai également rencontré des personnes extraordinaires, j’ai vécu des moments inoubliables.

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-       14/  Des conseils pour les étudiants qui aimeraient partir dans ce pays ?

Equipez-vous bien pour le froid, et tout ira bien !! Si vous avez des questions, n’hésitez pas à me contacter, ca me ferait énormément plaisir de pouvoir aider des étudiants. Sinon, vous pourrez également trouver des informations sur la page Facebook que je tiens avec des camarades : https://www.facebook.com/RelationsInternationalesIUTdeSceaux/.

Témoignage de Tommy Nguyen

-       1/  Bonjour, pouvez- vous vous présenter ?

Bonjour, Je m’appelle Tommy NGUYEN, je suis étudiant en 2ème année de Technique de commercialisation spécialité relations internationales à l’IUT de Sceaux.

 

-       2/  Qu’est ce qui t’a donné envie de faire un ERASMUS dans ce pays ?

Mon but était de faire un voyage à l’étranger. En effet j’aime beaucoup voyager et dès mon entrée à l’IUT je savais que je devais saisir cette opportunité.

En ce qui concerne la destination je voulais à la base aller dans un pays anglophone pour perfectionner mon anglais. Mais après réflexion, le Canada est une très belle destination que je n’avais d’ailleurs jamais visitée.

 

-       3/  Quelles ont été les principales étapes de la préparation de ce séjour ?

Tout d’abord le billet d’avion qui était la chose à plus importante à faire pour mon départ. En effet plus on attendait plus les prix augmentaient pour les billets. Ensuite la recherche de logement qui n’est pas à négliger quand on part à l’étranger et aussi loin. Viens ensuite les demandes d’aide comme la bourse internationale ou encore une bourse supplémentaire que peut t’offrir le CROUS. Et pour finir l’achat des habits chauds pour se parer contre le froid canadien.

 

-       4/  Où seras- tu logé(e) ?

Je suis actuellement dans une collocation de 7 avec 1 française, 4 québécois et 1 marocain. Je suis à environ 15-20 min à pied de l’université.

 

 

-       5/  Comment as-tu trouvé ce logement ?

J’ai trouvé ce logement grâce au site de l’UQAC qui permet à des personnes de poster des logements pour les étudiants.

 

Retour de mobilité internationale

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-       6/  Quels sont les principales différences entre la France et le pays que tu as choisies ?

Tout d’abord le froid… Bien sûr quand on arrive au Canada c’est une ambiance totalement différente qu’il peut y avoir en France. Ici on peut dire qu’il fait chaud quand il fait -1°C mais après 1 mois passer ici on s’habitue vite. Ensuite les cours qui sont bien différents de ce qu’on peut avoir en France (dans le cas de l’IUT). J’ai 5 cours différents qui durent respectivement 3h. Du coup enchainer 3h de la même matière est assez déprimant au début mais par la suite on trouve que les cours passent vite après quelques semaines. Pour poursuivre sur les cours, je peux parler aussi des horaires qui sont très variés, en effet je peux bien avoir un cours de 8h à 11h puis attendre toutes la journée pour avoir cours de 19h à 22h (Oui nous avons des cours qui se terminent à 22h).

 

-       7/  Les différences entre étudiants ?

En ce qui concerne les étudiants dans une classe tu peux bien trouver des étudiants comme nous en BAC+2 ou BAC+3 mais aussi des adultes qui font une formation.

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-       8/  Quel était le coût de la vie de ce pays ?

Tout est en dollar canadien en faisant la conversion cela revient à pas si cher que ça. Après tout dépend ce que tu achètes.

 

-       9/  As-tu été bien accueilli(e) ?

Oui ici les personnes sont très gentilles et avènements avec les étudiants qui viennent d’arriver.

 

 

-       10/  As-tu un bon souvenir à nous raconter ?

Le lendemain de notre arrivée avec Sheima et Fanny, nous devions aller à l’UQAC pour nous inscrire à nos cours, sauf que ce jour-là il y avait une tempête de neige. On marchait vers l’université totalement gelé et une dame nous a gentiment déposer à l’université et en plus elle nous a ramené chez nous après.

 

-       11/  Qu’as- tu préféré dans ce pays ?

L’accueil des personnes qui pour moi était vraiment un truc qu’il n’y a pas en France. Ensuite étonnamment la répartition des cours qui me permettent d’être en week-end le mercredi soir. 

 

-       12/  Qu’as- tu moins aimé dans ce pays ?

Je n’ai pas de points particuliers qui me passe par la tête mais peut-être pour Chicoutimi le seul problème serait que nous sommes à la campagne du coup ce n’est pas du tout comme une grande ville.

 

-       13/  Qu’est-ce que cette expérience t’as apporté ?

Pour l’instant je dirais l’autonomie car ce n’est pas facile de se débrouiller tout seul dans un pays étranger mais je verrais par la suite quand j’aurais terminé mon voyage.

 

-       14/  Des conseils pour les étudiants qui aimeraient partir dans ce pays ?

Je pense surtout de pas être déprimer par le froid durant les premiers. En effet on peut vite perdre le moral à cause de cela mais au contraire il faut sortir et voir ce qu’il se passe dans la ville. Ensuite je dirais en amont, ne pas oublier que vous pouvez avoir beaucoup d’aide que ce soit la bourse internationale, la bourse du CROUS mais aussi faire une demande de CROUS exceptionnel.

Vicky Beckoum 

Vicky Beckoum a effectué une mobilité internationale durant son semestre 4, en 2018 avec ERASMUS au Canada. Pour réaliser cette aventure unique elle a réalisé un dossier lors de son semestre 1 en 2016. Elle reçut la réponse en mai 2017 à la suite de longues procédures. C’est la DRI d’Orsay qui s’occupe des démarches.

Pour être sélectionné, il faut un bon dossier scolaire, être un bon élève en langues et être très motivé. Vicky a été acceptée à 13.5 de moyenne au S1.

La mobilité internationale ERASMUS a duré 4 mois du 8 janvier 2018 au 30 avril 2018.

Vicky a choisi le Canada car son système éducatif est considéré comme l’un des meilleurs au monde.

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