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Mobilité sortante
STAGE A L'ETRANGER

Que ce soit dans le cadre de votre DUT (1eret 2ndeannée) ou dans le cadre d’une licence professionnelle, vous avez la possibilité d’effectuer votre stage à l’étranger à l’IUT de Sceaux.

Plusieurs options s’offrent à vous selon votre cursus universitaire actuel :

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* Pour les étudiants de DUT TC et GEA :

  • Soit faire votre stage obligatoire de 2ème année à l’étranger

  • Soit partir dans une université étrangère et faire votre stage à l’étranger (dans le même pays ou dans un autre pays).

NB : le stage peut se faire avant la mobilité prévue du S4, c'est-à-dire de décembre à février ou après.

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* Pour les étudiants en licence professionnelle :

  • Soit faire votre stage à l’étranger (2 mois minimum)

  • Soit partir dans une université étrangère et faire votre stage à l’étranger, dans le même pays ou dans un autre pays.

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Le service des Relations Internationales de l’IUT vous accompagne dans votre démarche que ce soit par sa politique d’échanges inter-universitaires que par l’obtention d’aides financières.

Ainsi pour plus d’informations, n’hésitez pas à vous rapprocher du Service Relations Internationales de l’IUT / bureau 303.

Etre curieux, s’ouvrir aux autres, dépasser ses peurs, être autonome, des qualités utiles pour le monde du travail plus tard.

Laura Korwin

London, UK

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Le stage, une première porte d'entrée vers l'étranger mais pas que... découvrez le témoignage de Lyna REZZAG et de ses expériences à l'étranger!

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Témoignage de Adrien Aranyossi 

1/  Bonjour, pouvez- vous vous présenter ?

 Je m'appelle Adrien Aranyossy et je suis un étudiant TC2 en première année.

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2/  Qu’est ce qui t’a donné envie de faire un ERASMUS dans ce pays ?

J'ai toujours eu envie de donner à mon expérience internationale un aspect professionnel, le Japon était pour moi le pays ou j'avais le plus d'opportunité et le plus de soutien car une partie de ma famille s'y trouve. De plus cela fait longtemps que j'envisage un avenir professionnel au Japon, ce stage m'a permis d'avoir une vision réel du monde dans lequel je veux m'intégrer.

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3/  Quelles ont été les principales étapes de la préparation de ce séjour ?

Préparer ce séjour n'a pas été compliqué comme je logeais chez un membre de ma famille, il n'y a eu que 2  grandes étapes de préparation.
1) Améliorer en amont mon niveau de Japonais et d'Anglais.
2) Vérifier toutes les dates avec l'entreprise et l'université et mes propres disponibilités.

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-       4/  Où seras- tu logé(e) ?

J'ai logé chez ma tante qui habite à Tokyo (Dankayama).

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Retour de mobilité internationale

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-       5/  Quels sont les principales différences entre la France et le pays que tu as choisies ?

Il est difficile de comparer les différences entre les deux pays car je connais uniquement le monde universitaire Français mais pas le Japonais et inversement pour le monde professionnel. Cependant j'ai eu la chance de rencontrer des personnes de tous ces milieux et je pense pouvoir affirmer qu'il y a une réel différence au niveau du sérieux apporté dans le travail, les Japonais sont extrêmement efficaces et ponctuel dans les délais qui leurs sont imposés. Il y a aussi une différence apporté à l'importance du travail (les Japonais priorise d'abord le travail).

 

-       6/  Quel était le coût de la vie de ce pays ?

Les loyers sont très chers surtout à Tokyo, l'utilisation massive des transports revient très cher au bout d'un certain temps, la nourriture que ce soit dans les magasins ou dans les restaurants est très abordable : meilleur rapport qualité prix que je n'ai jamais vu.

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-       7/  As-tu été bien accueilli(e) ?

Oui j'ai été extrêmement bien accueilli dans l'entreprise, on m'accordait du respect malgré ma position de stagiaire.

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-       8/  As-tu un bon souvenir à nous raconter ?

Je n'ai pas de meilleur souvenir en particulier mais mes meilleurs souvenirs sont ceux des diverses rencontres que j'ai pu faire au sein de la boite, avec des japonais mais aussi des européens qui travaillaient ici.

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-       9/  Qu’as- tu préféré dans ce pays ?

Ce que j'ai préféré est l'attitude des personnes et la nourriture.

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-       10/  Qu’as- tu moins aimé dans ce pays ?

La densité de la population, il y avait trop d’habitant nous étions serrés.

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-       11/  Qu’est-ce que cette expérience t’as apporté ?

Une maturité au niveau de ma méthode de travail, une grande capacité d'adaptation et une attitude très ouverte d'esprit vis à vis des autres.

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-       12/  Des conseils pour les étudiants qui aimeraient partir dans ce pays ?

Le plus important est de vous renseigner sur les coutumes traditionnelles japonaises qui s'applique encore aujourd'hui et qui sont très importantes, veillez à apprendre toutes les règles de politesses car vous serez extrêmement mal vu si vous ne les appliquez pas.

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Noémie Teslis

Noémie Teslis a effectué un stage à l’étranger en 2017 à Los Angeles. Elle connaissait déjà une famille d’accueil aux Etats-Unis, cette famille l’a aidé à trouver un stage à Los Angeles. Noémie a fait son  stage dans une administration publique et est resté dans sa famille d’accueil.

Elle a fait son stage à Los Angeles dans le but de se démarquer des stages lambadas effectué par les autres élèves et ainsi se démarquer dans son rapport de stage. De plus faire son stage à Los Angeles lui permet d’approfondir ses notions en anglais dans le but de parler couramment la langue prochainement.

Noémie voudrait faire ses études à l’international et  projette de vivre en Italie, un pays qu’elle apprécie depuis un grand nombre d’année.

Témoignage d'Ines Kali

Introduction

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- Bonjour, pourriez-vous vous présenter ?
- Je me présente, Inès KALI, 22 ans, actuellement en Master Manager Stratégie Marketing et Digitale à ISEFAC Alternance. Avant cela, j’ai fait trois ans d’études à l’IUT de Sceaux dont deux ans en DUT Techniques de commercialisation et un an en Licence Professionnelle Management des Organisations parcours Entrepreneuriat (LP EGO).

- Quelles ont été vos motivations à effectuer un stage à l'étranger ? Et pourquoi dans ce pays en particulier ?
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Dans le cadre de ma licence professionnelle Management et Gestion des Organisations à Sceaux, j’ai pu avoir la chance d’être plongée au cœur d’une entreprise pendant dix semaines. J’ai choisi d’effectuer mon stage de fin d’étude dans une agence d’évènementiel basée à Kuala Lumpur en Malaisie car j’ai toujours souhaité avoir une expérience dans un pays étranger. 

 

Faire mon stage dans un pays occidental ne m’intéressait pas vraiment, je souhaitais découvrir un environnement totalement différent de celui que je connaissais. Faire mon stage dans un pays asiatique représentait pour moi un moyen de m’enrichir autant d’un point de vue professionnel que personnel. En effet, cela faisait quelques années que j’avais pour objectif de découvrir un (ou des) pays asiatiques dans le cadre de mes études. 
 

C’est pour cela que, durant ma dernière année de DUT à Sceaux, j’ai postulé pour faire un DUETI en Malaisie, soit, une année d’étude dans une université malaisienne. Hormis la Chine, avec qui le partenariat entre l’IUT et l’Université de Pékin n’était pas bouclé, la Malaisie était le seul pays asiatique proposé.
Je me suis donc renseigné sur ce pays et j’ai vraiment eu un coup de cœur pour lui. Il est d’une diversité incroyable et est très riche au niveau des paysages, de la mixité culturelle et bien d’autres aspects. Ayant été refusée au DUETI Malaisie, j’ai vu mon envie d’y aller augmenter. 

 

Découvrir ce pays en faisant du tourisme ne m’intéressait pas vraiment, je souhaitais découvrir la population de l’intérieur: leurs habitudes, leurs comportements, leurs différences. Ainsi, j’ai profité de cette dernière année d’études pour pouvoir enfin découvrir ce pays qui m’attirait tant. 
 

Pendant ma recherche de stage, j’ai dû faire face à plusieurs échecs étant donné que les malaisiens sont privilégiés. Il a été très difficile pour moi de décrocher un stage, surtout concernant sa courte durée (seulement 3 mois) mais aussi par le fait que mes recherches étaient ciblées uniquement sur Kuala Lumpur en Malaisie. 
 

Après plusieurs recherches, j’ai trouvé ce stage grâce à une amie qui m’a transmis le contact de l’entreprise. Intégrer l’équipe d’une agence d'événementiel m’a toujours intéressée. C’est un domaine dans lequel on ne s’ennuie pas car les événements changent sans cesse. 
 

C’est, de plus, un domaine dans lequel notre métier prend du sens car lors de l'événement que nous avons organisé, nous voyons directement l’impact de nos idées et nos choix. Ainsi, découvrir le métier de manager dans le cadre d’une agence comme celle-ci représentait une énorme opportunité pour moi.

 

- Quelles ont été les principales étapes à la préparation de ce séjour ?
- Les principales étapes de la préparation de ce séjour ont été :

- La recherche du logement : assez compliquée au départ car je ne connaissais pas la ville et je n’avais aucune idée du quartier à privilégier, des distances entre chaque quartier etc. 

- L’établissement d’un budget moyen : faire un tableau de ses dépenses prévisionnelles en tenant compte du loyer à payer, du coût de la vie et des extras. 

- Gérer toute la partie administrative : souscrire à une assurance voyage, prendre rendez-vous avec la banque, résilier certains de ses abonnements, mettre à jour ces vaccins etc.

 

- Où avez-vous été logé(e) ?
- J’habitais une résidence située en périphérie de la ville : Regalia Residence à Kuala Lumpur.

 

- Comment avez-vous trouvé ce logement ?

- J’ai opté pour l’application Airbnb. J’ai partagé le logement avec deux amies. Nous avions trouvé un appartement qui ne nous revenait pas très cher et qui était assez bien situé. Le loyer était de 810 euros par mois pour 3 personnes pour un appartement assez spacieux. L’appartement disposait de deux piscines, d’une salle de sport, d’une supérette et d’une bibliothèque.
Le coût de la vie y est vraiment bas, 1 euro était égal à 4.9 ringgits lorsque j’y étais en stage.


L'expérience

 

- Quelles sont les principales différences entre la France et le pays où vous avez séjourné ?

- Concernant les différences de pratiques dans le cadre professionnel, si je devais comparer mon stage de l’an passé fait à Paris et celui de cette année, je dirais qu’en Malaisie c’est très différent.

 

Tout d’abord, concernant la hiérarchie, elle n’est pas la même qu’en France. Le directeur général et les employés peuvent discuter ensemble de leurs vies privés, peuvent passer ensemble leur pause déjeuner et même se voir en dehors de l’entreprise. 
 

Tout le monde s’appelle par son prénom, nous pouvions même appeler le directeur exécutif, Monsieur Andrew Whigham, par son surnom « Andy ». Il arrive aussi qu’un manager appelle « boss » un des employés. A noter que le directeur est anglais, même s’il vit depuis longtemps en Malaisie, ce qui explique certaines différences dans la culture de l’entreprise. Mr Richard, le créateur de Red Archer, est d’origine malaisienne. Je pense que la culture d’entreprise résulte de l’association des deux.
 

Ce que j’ai ressenti, c’est que tout le monde se mélange sans distinction. Le fait d’être supérieur hiérarchiquement parlant n’empêche pas d’être amis. En France, la hiérarchie est beaucoup plus stricte, et, par exemple, lors d’une pause déjeuner, les directeurs ne vont pas instinctivement se mélanger aux salariés. 
 

De plus, ce que j’ai pu remarquer c’est qu’en Malaisie, on accorde beaucoup plus de chances aux jeunes sur le marché du travail. Par exemple dans mon entreprise, les managers ont 25 et 23 ans. Le reste de l’équipe est assez jeune aussi et le plus vieux a 27 ans. Monsieur Richard Dutton, le directeur general, considère que plus on est jeune plus nos idées sont fraîches et plus nous sommes créatifs. 
 

La flexibilité des horaires de travail est aussi une des différences avec la France. Travailler des heures supplémentaires est normal ici n’est pas forcément comptabilisé dans le salaire mensuel. En effet, je n’ai jamais terminé à la même heure car cela dépendait des périodes (creuses ou non). Aussi, en Malaisie, on n’attend pas d’un salarié qu’il fasse bien son travail et qu’il rentre chez lui. Il est attendu de lui qu’il termine ou continue son travail chez lui ou le week-end. Cela m’a un peu surprise.

 

- Quel était le coût de la vie dans ce pays ?
- La Malaisie est un pays où le taux de change entre l’euro et le ringgit est très intéressant. Il est facile de trouver un bon logement pour pas très cher. Par ailleurs, les logements sont généralement équipés de salles de sports et de piscines. De plus, il est possible de bien manger pour l’équivalent d’1,50 euros si on aime la nourriture locale, composée principalement de riz accompagné de poulet, de légumes et accompagné d’une sauce toujours très épicée.

 

- Avez-vous bien été accueilli(e) ?

- J’ai été très bien accueillie, que ce soit par les habitants dès mon arrivée, par mon hôte Airbnb et par mes collègues de travail. Ils se sont tous montrés très serviables.

 

- Avez-vous un bon souvenir de votre expérience à nous partager ?

- Dans le cadre de mon stage, j’ai participé à l’organisation de EPF (Employees’ Provident Fund) une société appartenant au gouvernement malaisien et rattachée au ministère des Finances qui gère le plan d'épargne et la planification de la retraite pour les travailleurs du secteur privé en Malaisie. 
 

L'adhésion à l'EPF est obligatoire pour les citoyens malaisiens employés dans le secteur privé et non obligatoire pour les citoyens non-malaisiens. Ce dîner de gala a été co-organisé par Amundi, un fond d’investissement français et dans le but de récompenser les meilleurs groupes d’investisseurs. 
 

L’événement a eu lieu au Grand Hyatt, un hôtel 5 étoiles situé juste en face des tours Petronas de Kuala Lumpur. 240 personnes étaient attendues et parmi eux, CEO et directeurs de grandes entreprises tels que BNP Paribas, Aumundi et d’autres fonds internationaux. 
 

L’évènement s’est déroulé sous forme de dîner, animé par des chants et des danses traditionnelles. Etant donné qu’Amundi, organisme français, était co-organisateur de l’évènement, l’évènement avait été organisé en apportant une French touch, que ce soit au niveau des plats proposés, des mignardises, mais aussi des prestations.

Cette soirée d’évènement a été un très bon souvenir pour moi car j’ai pu discuter avec beaucoup de directeurs de grandes entreprises de nationalité française. Ils étaient très ouverts et très gentils. 
 

 

- Qu'avez-vous préféré durant votre séjour dans ce pays ?

- Dans un premier temps, j’ai adoré le fait de découvrir une nouvelle culture et de m’y adapter. C’est dans ce but que j’avais choisi ce pays. Dans un second temps, j’ai adoré le fait de vivre dans un pays à proximité de très belles destinations ce qui m’a permis de pouvoir voyager pendant mes jours de repos.

 

- Qu'avez-vous moins apprécié lors de votre expérience ?

- Globalement mon séjour s’est bien passé. Pour moi, ce qui a été le plus difficile c’est le fait d’être au bout du monde sans sa famille.

 

- Qu'est-ce que cette expérience vous a apporté(e) ?

- La Malaisie m’a appris ce qu’était le vivre ensemble. En effet ici un grand nombre d’habitants aux origines différentes cohabitent et vivent ensemble sans souci apparent. La population est principalement composée d’Indiens, de Chinois et de Malaisiens et pour chaque communauté, les fêtes religieuses sont des jours fériés. 
Par exemple, le jour de la célébration de l’anniversaire de Bouddha « Vesak Day » est un jour férié, de même pour « Nuzul Al Quran » ou les musulmans célèbrent le jour où le prophète Mohammed a reçu la révélation du Coran. Pour les Chinois, lors du Nouvel An, les employés peuvent même prendre plusieurs jours de congés. 
Ainsi, la Malaisie est un pays musulman mais est respectueux des autres religions et des autres communautés. Par ailleurs, lorsqu’on marche dans la ville de Kuala Lumpur, on peut repérer différents quartiers tels que le quartier chinois, le quartier indien et même « the arab street ».

Ce stage m’a permis d’acquérir beaucoup plus de compétences que je ne le pensais avant mon départ. En effet, mon séjour à l’étranger a été riche d’un point de vue professionnel, j’ai pu apprendre un grand nombre de choses, mais aussi d’un point de vue personnel, ou j’ai pu développer plusieurs compétences. J’en ai appris plus sur moi-même et je pense être rentrée en France beaucoup plus mature et responsable. De plus, j’ai énormément progressé en anglais car l’environnement était anglophone. 

 

- Quels conseils pourriez-vous donner à des étudiants intéressés par un stage/un semestre à l'étranger ?

- Je dirais qu’il faut y aller sans hésiter. Un séjour à l’étranger permet de vraiment nous ouvrir l’esprit et de découvrir tellement de choses. Cela permet aussi de faire de très belles rencontres et de renforcer son expérience professionnelle.


A la fin de mon stage j’ai eu la chance de recevoir la visite de Françoise Wolf Mandroux, responsable des relations internationales et Eric MAYNARD, chargé des relations internationales pour l’Asie. J’ai été très honoré de leur faire partager l’univers de mon stage. 
 

De droite à gauche : Mr Maynard, Andrey Whigham, directeur exécutif de Red Archer, Mme Wolf-Mandroux, Inès Kali.
 

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Photo prise lors de l’événement « Brand Activation » pour le lancement de nouveaux produits de la marque Minute Maid Pulpy Malaysia :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

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